J'avais dit que l'on ne m'y prendra pas. J'avais dit qu'ouvrir un blog, c'est comme lancer une blague dans une soirée bondée : pas sûr que quelqu'un vous entende, et si quelqu'un vous écoute, il est possible que votre blague vaseuse et attendue ne vous apporte que des regards en biais.
Bref, pas forcément le bon plan.
Bref, pas forcément le bon plan.
Mais voilà, ça me chatouille, chers lecteurs désœuvrés. Ça me chatouille de vous livrer mes pensées, critiques et autres élucubrations. Du coup je me lance.
A cette époque où les bourrins envahissent les rues de Paris, à cette époque où les livres coûtent encore le prix d'un pack de bière, il est temps de s'insurger et donc d'écrire maladroitement quelques lignes dans un blog.
Je parle de l'actualité, de littérature, de cinéma, de jeux vidéos et de tout ce qui intéresse ta grand-mère. Je partagerai mes pauvres chroniques littéraires que j'ai la faiblesse d'éructer à la radio. Et peut-être te ferai-je partager mes écrits, mais chaque chose en son temps.
Aller, zou. Et n'oublie pas : avant d'être fort comme un chêne, il faut être con comme un gland.
A cette époque où les bourrins envahissent les rues de Paris, à cette époque où les livres coûtent encore le prix d'un pack de bière, il est temps de s'insurger et donc d'écrire maladroitement quelques lignes dans un blog.
Je parle de l'actualité, de littérature, de cinéma, de jeux vidéos et de tout ce qui intéresse ta grand-mère. Je partagerai mes pauvres chroniques littéraires que j'ai la faiblesse d'éructer à la radio. Et peut-être te ferai-je partager mes écrits, mais chaque chose en son temps.
Aller, zou. Et n'oublie pas : avant d'être fort comme un chêne, il faut être con comme un gland.
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